La situation de la minorité musulmane en Birmanie s’aggrave de jour en jour sans que la Communauté Internationale ne réagisse. Un nouvel aveux de faiblesse de l’ONU qui est dénoncé par douze prix Nobel.
La présidente birmane, également prix Nobel de la Paix, Aung San Suu Kyi, est vivement critiquée par les observateurs internationaux qui l’accusent de taire les massacres contre les rohingyas.