Le Québec connait une vague d’islamophobie sans précédent. Un projet de loi vise à interdire les signes religieux dans de nombreux lieux publics tels que les hôpitaux ou encore les mairies. La société civile s’est divisée depuis des mois entre pro et anti « charte des valeurs » avec des débats publics ou télévisés qui enveniment la question.
Sans réelle politique pour les citoyens, et à l’image des débats sociétaux en France, le gouvernement québécois continue à alimenter la haine via des séances de débats dans le parlement. A l’instar de ce qui se fait en France avec Hassen Chalghoumi, la classe politique islamophobe utilise des récents immigrés arrivistes pour déverser leur haine de l’Islam. Cependant, lorsque ces propos fielleux sont tenus par un maghrébin, ils ne peuvent être perçus comme du racisme. Cependant, il existe bel et bien une haine de certains maghrébins pour l’Islam, religion officielle de leur pays qu’ils ont quitté : ceci s’appelle de l’islamophobie.
L’exemple de Karim Ackouche, arrivé récemment d’Algérie, s’est lancé dans une diatribe contre les femmes voilées, les rendant toutes stupides, influencées, perverses ou sous pression masculine. Voir l’arriviste Ackouche s’en prendre à une jeune musulmane québécoise, qui n’a connu que le Québec et qui défend sa liberté de culte dans son pays, dévoile la haine de ces expatriés anti-Islam.
Certains immigrés deviennent les marionnettes des islamophobes. Ils importent leur haine au Québec due à des désagréments passés avec des musulmans dans leur pays d’origine. Ces valets des islamophobes sont les premiers à permettre la restriction des droits des musulmans québécois.