L’opération a été suspendue hier en Syrie pour “raisons logistiques”.
Depuis 24 heures, l’aide humanitaire ne parvient plus à la vieille ville, assiégée par les troupes de Bachar al-Assad depuis 18 mois.
Parmi eux quelque 300 personnes, dont des mineurs, ont été interpellées par le régime de Damas en descendant de leurs bus afin d’être interrogés.
À des milliers de kilomètres de là, à Genève, les négociations entre l’opposition syrienne et le régime semblent dans l’impasse. Idem au Conseil de sécurité des Nations unies à New York.
Occidentaux et Arabes tentent de soumettre une résolution sanctionnant le régime s’il ne garantit pas un meilleur accès humanitaire aux zones de conflit. Inacceptable pour la Russie, alliée de Bachar al-Assad.