Depuis des décennies, la minorité musulmane de Birmanie est prise pour cible par les autorités birmanes. Les rohingyas ont fui les massacres de masse portant à 500 000 le nombre de déplacés vers le Bangladesh en seulement quelques semaines.
Les violences faites à la minorité musulmane par les intégristes bouddhistes et le gouvernement local n’a pas poussé l’ONU a intervenir militairement afin de stopper ce crime contre l’humanité. La communauté internationale a réagi par voie diplomatique sans que cela porte véritablement ses fruits.