Le tyran Al Sissi continue son offensive contre l’Islam en Égypte. Après avoir massacré dans le sang les militants musulmans anti-putsch militaire, le dictateur égyptien autorise l’autodafé de livres religieux.
A l’heure où les yeux des musulmans sont rivés vers la Syrie, l’Irak et le Yémen, le tyran égyptien Al Sissi continue son combat contre l’Islam. En fin 2014, le dictateur ordonnait aux religieux de la célèbre université islamique Al Azhar de purger l’Islam de nombreuses sources reconnues et plébiscitées depuis des siècles par les grands savants.
Dans la même ligne, la télévision égyptienne permettait à des agents du pouvoir d’insulter les deux grands imams Boukhari et Muslim, connus pour leur Sahih de hadiths, 2ème source des musulmans après le Coran. Il y a quelques semaines, le Ministère de l’Éducation nationale égyptien brûlait en place public de nombreux livres islamiques et supprimait les cours d’histoire sur le célèbre Salahdin Ayoubi qui a délivré Jérusalem des croisés.
La démarche d’Al Sissi est claire depuis sa prise de pouvoir dans le sang. Allié de l’Occident, d’Israël et des pétromonarchies du Golfe, le dictateur est responsable du massacre de milliers d’égyptiens, de libyens ou encore de palestiniens. L’Occident a trouvé dans ce tyran un nouveau leader arabe capable de réprimer dans le sang toute contestation islamique légitime.
** Voir le dernier numéro de l’émission “Face à l’Info” sur la Syrie, l’Irak et le Yémen **