Les médias continuent à traiter l’information de manière totalement partiale sans vouloir écouter ou comprendre les populations des quartiers.
Les manifestants sont, pour les médias des barbares, qui ne pensent qu’à en découdre et à casser. Pourtant, lorsque l’on écoute la population, on voit que les récits sont complètement en contradiction avec la version donnée par les médias mainstream.
A nouveau, la police est mise en cause dans les témoignages des habitants de Sarcelles. Souvent peu entendues, les victimes de la République à deux vitesses ont dorénavant les moyens de se faire entendre.
Depuis quelques années, les choses changent, les victimes prennent leur téléphone et filment les bavures et autres dérapages. Cela permet de donner un autre son de cloche que la version officielle.