Dès le premier jour de la soi-disant agression, la rédaction Islam&Info avait émis des doutes quant à la véracité des propos d’Amina Sboui.
Quelques temps après, un lecteur I&I avait réalisé une excellente vidéo regroupant tous les propos incohérents de l’ex-Femen tunisienne prouvant définitivement ses mensonges.
L’investigation menée par notre cher lecteur et sa diffusion dans nos colonnes a surement obligé les enquêteurs à accélérer leur travail sous peine d’être accusés d’incompétence.
Ainsi l’ancienne Femen a été convoquée ce matin dans les locaux de la brigade des réseaux ferrés (BRF) et placée en garde à vue afin d’être à nouveau auditionnée. Selon les médias, elle est accusée de « délit de dénonciation imaginaire ». Plusieurs éléments prouveraient qu’elle a menti notamment suite aux incohérences notoires et aux bandes vidéos enregistrées au métro Place Clichy (Paris).
Les organisations musulmanes doivent dorénavant demander des excuses aux médias qui ont à nouveau provoqué une stigmatisation de la communauté musulmane. Le manque de preuves et les antécédents de la jeune femme auraient dû pousser la presse à plus de retenu avant sa médiatisation outrancière mais il n’en fut rien. Le buzz sur l’Islam vend plus que l’enquête sérieuse.
Amina Sboui doit écoper d’une peine exemplaire afin d’empêcher sa récidive et celle de mythomanes islamophobes qui se lanceraient dans le récit imaginaire contre les « dangereux salafistes barbus ».