Centrafrique : Scandale ! Les soldats français pilleraient-ils une mine de diamants ! [Vidéo]

Depuis plusieurs mois la Centrafrique s’enfonce dans le chaos le plus absolu. La France s’est engouffrée, seule, dans ce guêpier qui dure depuis 6 mois.

Les anti-balakas, milices à dominante chrétienne s’en prennent aux civils musulmans. Ils n’hésitent pas à “macheter” tous les musulmans croisés sur leur passage. Ils les découpent, les brûlent et même parfois se livrent à des actes de cannibalisme.

C’est donc avec beaucoup de joie que les militaires français de Sangaris sont accueillis à leur arrivée en début d’année 2014.

La mission officielle des soldats est de mettre fin aux massacres et de “désarmer” toutes les milices et groupes. De ce fait, les troupes françaises désarment les musulmans mais ceux-là restent à la merci des anti-balakas sans aucune défense.

Les soldats qui ont été accueillis comme sauveurs font donc face a présent à une opposition de la part de la population qui s’est sentie délaissée et livrée aux exactions des milices barbares.

Les musulmans continuent à se faire massacrer dans l’indifférence la plus totale.

Résultat, le 31 mai dernier, les soldats Sangaris de l’armée française sont hués par les habitants qui les traitent de “voleurs de diamants”, (la Centrafrique étant un des principaux producteurs mondiaux de diamants), insinuant par là que la France n’est pas venue pour les aider mais pour les piller.

Aujourd’hui apparait cette vidéo issue d’une émission TV africaine dans laquelle on aperçoit des soldats français dans ce qui est présentée comme une mine de diamants.

Des questions graves se posent et une enquête sérieuse ne serait pas en trop … Les gens ont besoin de savoir si cette vidéo n’est qu’une très mauvaise plaisanterie ou un scandale qui entacherait l’image de tout un pays.

Peut-être assisterions nous alors à un début d’explication à l’intervention de la France en RCA et à l’enlisement de ce conflit au détriment de la population musulmane centrafricaine qui se fait massacrer dans l’indifférence la plus absolue.