L’annonce de réconciliation entre le Hamas et le Fatah a provoqué la colère de l’entité sioniste. L’israël a de suite rompu toutes les négociations avec Mahmoud Abbas, qui soit dit en passant, n’avait rien apporté aux palestiniens.
Le Hamas, qui contrôle la Bande de Gaza, a rejeté samedi la demande des Etats-Unis qui exigeait que tout futur gouvernement palestinien, reconnaisse Israël. Le porte-parole de l’organisation islamique soupçonne dans un communiqué de presse que derrière la visite à Ramallah de Susan Rice, conseillière à la sécurité nationale des Etats-Unis, se cache une ingérence américaine visant à faire échouer la réconciliation entre Fatah et Hamas.
Lors de sa rencontre avec Mahmoud Abbas, la conseillère à la sécurité nationale des USA, a réitéré la volonté claire des Etats-Unis et d’Israël de voir un gouvernement palestinien reconnaître l’entité sioniste comme Etat et renoncer à la violence. Points auquels s’était engagé auparavant le leader du Fatah.
La réconciliation doit permettre la formation d’un gouvernement palestinien d’unité nationale ainsi que des élections générales après la mise en place d’un gouvernement.