L’ organisation Human Rights Watch, preuve à l’appui accuse Bashar d’avoir éliminé volontairement des habitations dans lesquelles résidaient des sunnites.
Des responsables syriens prétextent un projet d’aménagement urbain ou des défauts de permis de construire. Des explications insensées, en pleine guerre, affirme l’ONG.
Toujours selon HRW, la zone détruite couvrait l‘équivalent de 200 terrains de football. Des milliers d’habitations, dont des immeubles de plus de huit étages, ont été rasées.